Actuellement dans mon baladeur mp3 Rédigé depuis 2005 |
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Quelques découvertes récentes (pour moi) triées sur le volet. |
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2011 |
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Mark Lanegan (The Grunge's Voice) Mad Season - "Long Gone Day"
Screaming Trees - "Nearly Lost You" (1992)
Isobel Campbell & Mark Lanegan - "Ballad Of The Broken Seas "
Soulsavers : "Some Misunderstanding" (Mark Lanegan 2009)
The Gutter Twins - Saturnalia - Circle The Fringe
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The Cult
Others "She sells sanctuary" (période gothic)
"Lil Devil"
"Sacred life" (hommage à Kurt Cobain)
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Gonzales |
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Noir Désir
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Devin Townsend Le meilleur album de Devin Townsend depuis "Ocean Machine Biomech (1997)" . J'étais tellement déçu par les suivants - Terria (2001) & Physicist (2000) - que j'ai failli ne pas essayer celui-ci Cet album est très personnel et très introspectif.. On ne sait pas trop s’il s’agit de metal, de folk, d’acoustique expérimental chelou… De toute façon, c’est pas nouveau, Devin Townsend fait du Devin Townsend. Et comme il le dit si bien, il faut se laisser entrainer en écoutant cet album, tout oublier de ce qu’il a pu faire auparavant. Se laisser entrainer car il n’en demande pas plus. Ne cherchez pas le pourquoi qu’on passe d’un morceau furieux à un véritable havre de paix. Petit à petit, on arrive à se mettre dans la peau du personnage, à mieux comprendre ce que Devin veut nous dire. Et on est touché par la grâce d’un « Terminal », et porté par l’énergie furieuse d’un « Gato » (à la fraise, les meilleurs). Les musiciens sont parfaitement à leur place et ceci est d’autant plus étonnant qu’ils ne jouent pas habituellement dans un registre « metal », exception faite pour le clavieriste, déjà présent aux côtés du DEVIN TOWNSEND BAND. La production est d’ailleurs très claire, ou chacun des instruments s’illustre dans sa plus simple expression. Pas trop de fioritures (hormis le morceau titre et ses arrangements de malades), un son de guitare clair… Cet album mérite une écoute des plus religieuses, au calme et avec attention. Il ne plaira pas à tout le monde (et c’est pas le but je pense d’être accessible), mais une fois qu’il a délivré ses secrets, après le déclic il s’écoute et se réécoute d’une traite. Moi, je l'écoute en boucle, notamment pour m'endormir, pour me réveiller, et en marchant (pour me protéger des bruits de la ville)
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Killing Joke Invocation lire aussi : http://www.xsilence.net/disque-3588.htm |
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Tool The Pot Encore une histoire d'escargot ! des clips dignes d'eraserhead de David Lynch à l'époque de Lateralus |
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Porpucine Tree "Anesthetize" est la meilleure chanson progressive de tous les temps. Voilà, c'est dit ! C'est définitif Alors que dire simplement sur ce dernier opus de Porcupine Tree ?... Premièrement que, fidèle à l'orientation prise sur Deadwing, le précédent album, la touche métal atmosphérique est confirmée, comme en témoigne la puissance de certains riffs d'"Anesthetize" ainsi que de leurs échos sur "Way Out Of Here", la lourdeur de la chanson éponyme qui démarre l'album... Deuxièmement une maturation musicale profonde, ils vont plus loin encore dans la mélodie, avec comme exemple type "Sentimental", une des plus belles chansons que Wilson nous ait donnée, et des passages parfois plus proches de ce qu'on connaissait des Floyd, avec même un parfum du Walrus des Fab Four sur les arrangements du dernier titre "Sleep Together"... Troisièmement la quête perpétuelle de nouvelles orientations stylistiques avec un nouveau côté indus et new-wave qui apporte un réel plus à leur socle progressif, ainsi que grâce à l'expérience du projet Blackfield de Wilson, et de Robert Fripp et Alex Lifeson pour une part de l'innovation harmonique de certains morceaux... Enfin, le son est toujours aussi bon, Wilson est toujours aux manettes de A à Z (production, mix, master), la qualité technique des musiciens est toujours aussi impressionnante... Alors ? Eh bien en quelques mots : paix et défoulement, calme et agitation, maîtrise. Cet album est particulièrement abouti, tant par ses ambiances planantes plus travaillées que jamais, que par ses mélodies, la créativité dans les rythmiques ou les arrangements. Il respire l'inspiration nouvelle d'un groupe qui ne se contente pas de ce qu'il a d'ores et déjà réalisé, mais continue d'innover et de créer, de faire rêver et planer... Une vraie réussite... |
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Tenacious D |
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2010 |
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Puscifer |
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Them Crooked Vultures Them Crooked Vultures c’est l’addiction immediate ! Déjà les acteurs : Josh Homme des Queens of the Stone Age au chant-guitare et Dave Grohl à la batterie, soit la paire gagnante de l’excellentissime Song for the Deaf. Puis, pour ne rien gâcher à l’affaire, ça n’est autre que le bassiste/claviériste de Led Zeppelin, soit John Paul Jones himself qui vient compléter ce trio hors pair. On a vu plus dégueu comme affiche. Mais on aurait pu s’arrêter à un vague concours de tête d’affiche s’emmêlant les pinceaux dans leurs unités respective comme on l’a déjà vu si souvent par le passé ! Que nenni ici, les beats rock n’roll nous en mettent plein la vue, les acteurs sont tous excellents et forment une osmose qui fait un putain de bien ! Des riffs de refrains imparables (« Scumbag Blues »), des tournures de batteries imbattables (« Warsaw… ») et des trouvailles sonores de John Paul so enthousiasmantes (« Bandoliers »). Bref, Them Crooked Vultures c’est à la fois le sucre rapide qui fait un effet rock immédiat et le sucre lent tant certaines mélopées nous trottent dans la tête. Un disque qui, reconnaissons-le, porte clairement la patte Josh Homme, du contenant (cette pochette rappelant Song for the Deaf) au contenu (du rock qui reste très QOTSA malgré tout ce qu’on veut bien en dire). Them Crooked Vultures est malgré tout un habile mix entre les formations des trois protagonistes (j’énumère pas !) qui injectera une bonne dose de rock n’roll dansant dans nos veines qui n’en demandaient pas tant ! (source http://www.musique-chroniques.ch/) |
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Alice In Chains L'annonce de la reformation d'Alice In Chains et de l'arrivée de Black Gives Way To Blue a eu de quoi effrayer. Ce groupe avait toujours été une créature bicéphale, le laboratoire d'un docteur Cantrell et d'un mister Staley. Chacun magnifiant les talents de l'autre pour aboutir à l'un des meilleurs groupes des années 90. Tableau presque parfait si on oublie une fin de décennie chaotique, et les interminables shoots qui finirent par emporter le corps décharné de Layne Staley après 5 ans de vie d'ermite. Que devaient faire Cantrell, Kinney, et Inez après ce 4 avril 2002 ? Renoncer au plaisir de jouer ensemble les chansons qui ont façonnées 5 albums majeurs ? C'est ce qu'ils ont fait pendant près de 4 ans, avant de revenir timidement avec l'aide d'un certain William Duvall. Alors bien sûr en déchirant le blister de Black Gives Way To Blue, on se demande, comment cet outsider peut arriver à la cheville de son illustre prédécesseur, tant l'ombre de Staley est omniprésente. A l'écoute de l'album, on comprend qu'il est inutile de se demander si Duvall arrive à (sou)tenir la comparaison, ce dernier n'assure le chant que sur "Last Of My Kind", le reste des titres étant chanté par Cantrell, avec Duvall aux chœurs. On aura donc compris que le guitariste devient seul maître à bord d'Alice In Chains, avec la ferme intention de perpétuer l'héritage. Venons-en au principal : les morceaux. On y retrouve les principales caracteristiques du groupe : lignes de voix entremêlées, et des parties de guitares sombres et distordues. Et force est de constater que ça fonctionne très bien, si on met de côté un faible "Your decision", qui, sans être déplaisant, aurait pu figurer sur le Boggey Depot de Jerry Cantrell. On trouve même quelques perles comme "Acid Bubble" ou "Private Hell" qui ne feraient pas tache sur un album d'Alice In Chains "traditionnel". Comprenez avec un Staley les deux mains agrippées au micro. Le seul titre signé par Cantrell et Duvall ("Last of my kind") offre même des relents "Faceliftiens", ce qui n'est pas fait pour déplaire aux fans de la première heure. Les autres titres du disque, "Check My Brain" et "A Looking In View" en tête sont d'une grande efficacité, et trouveraient aisément leur place aux côtés d'un "Dam That River" ou autre "Grind". Rien de plus soit, mais surtout rien de moins. Alors que demander de plus ? Rester bloqué sur le fantôme de Layne Staley priverait l'auditeur d'un bon disque d'Alice In Chains, peut être moins magique qu'à l'accoutumée, mais d'une qualité indéniable. Reste maintenant à voir le groupe sur scène, et juger comment il interprète les morceaux classiques de son répertoire. Alice est morte, vive Alice ? (source http://www.xsilence.net/) |
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Grand Final Grand Final a récemment fêté la sortie de son premier album, The Bridge ! Extraits un peu transformés et déformés (petit jeu des 7 erreurs ?) le l'interview proposée par Mag-Le Havre "Nos tympans se souviennent encore de Dickybird. Le trio Doris Le Mat-Thieulen (guitare + chant) / Jean-François Thieulen (batterie) / Stéphane Touboulic (basse) a électrisé pas mal de scènes européennes et même américaines entre 1993 et 2006. Avec Grand Final, Doris Le Mat-Thieulen et Jean-François Thieulen lancent un duo rock très noise qui, lui aussi, va faire des trous dans les murs. |
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Deep Purple Encore un disque à coté duquel je suis passé pendant trop longtemps ? (1) Comme beaucoup de monde, je ne me lasse pas de la période « Made In Japan », mais j’aime particulièrement l’époque "Burn" avec Glenn Hugh & David Coverdale qui ont commis des titres tels que « You Keep on Movin' » (" Listen, Learn, Read On"). Puis vers 1995, l'arrivée de Steve Morse dans cette nième renaissance de Deep Purple leur a donné une pêche inouie. S'il est vrai que les composition studio de ce jouveau line-up n'ont pas eu la magie du "grand" DP (période "In Rock" à "Who Do We..."), sur scène c'était tout autre chose. Ici Steve Morse réussit le tour de force de s'approprier les morceaux tout en respectant l'esprit d'origine. Quel subtilité et délicatesse. Cet enthousiasme se communique au jeu de ses (vieux) comparses. De grands moments qui font revivre d'excellents titres et offrent quelques variantes surprenantes et brillamment ciselées. (1) réponse : le disque n'est sorti qu'en 2006 |
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Ghinzu Ghinzu est déjà grand. « Blow » (2004) était une bombe imparable avec des morceaux racés, variés, taillés dans un rock polyphonique, lyrique, et incroyablement tubesque. Un disque moins brillamment virtuose mais sûrement plus attachant et que "Blow". (extraits d'une chronique trouvée sur le net) |
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Archive Le nouvel Opus d'Archive est arrivé. Du Grand Archive qui renoue avec les débuts du groupe. Les nouveaux chanteurs sont maintenant bien intégrés et la magie du son est encore renouvelée. la fragile voix de Pollard Perrier est idéale, comme l'est tout autant que la sensuelle voix de Maria Q. (extraits d'une chronique trouvée sur le net) |
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Emiliana Torrini Ah quelle époque ! Quelle époque que celle du numérique. Un disque emprunté à la bibliothèque, aussitôt téléchargé sur mon disque dur, et tout de suite rendu à la bibliothèque... en attendant d’avoir le temps de l’écouter… Ben, ouais, à ce moment, j’étais... débordé. Pourquoi comparer cette artiste à Bjork (à part quelques accents vocaux et le pays d’origine) ? Elles ne sont pas sur le même registre, et Emiliana n’a vraiment pas à rougir du talent de l’autre. C’est un disque très équilibré, très serein et apaisant. Je ressens les mêmes sensations de bien-être qui m’avaient envahi aux premières écoutes de Ben Harper, à son époque acoustique. On va peut-être l’acheter, le disque dans ce cas. |
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2009 |
Actuellement dans mon baladeur mp3 Rédigé depuis 2005 |
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